Et si votre peur de l’abandon ne venait pas de vos relations actuelles…

…Mais d’une blessure ancienne, silencieuse, jamais reconnue ?


Quand se nier devient une stratégie de survie

Dans certaines histoires de vie, la douleur est si intense, si incomprise, que l’esprit cherche à s’adapter coûte que coûte.

Alors, au lieu de se révolter, on s’identifie à celui qui nous a blessé.

On adopte ses codes, ses silences, ses violences.

On se fond dans le groupe qui nous a nié, pour ne pas être rejeté une seconde fois.

Mais cette stratégie de survie a un prix : on se perd soi-même.


Sortir du vortex abandonnique :  comprendre les pièges psychiques

La structure abandonnique peut devenir un véritable vortex émotionnel : un tourbillon intérieur où la personne se perd

  • dans des relations toxiques,
  • les dépendances affectives,
  • ou des schémas de souffrance répétés.

Pour en sortir, il est essentiel de comprendre certains mécanismes psychiques qui entretiennent ce piège.


Le syndrome de Stockholm : aimer celui qui fait souffrir

Le syndrome de Stockholm désigne un phénomène ou une personne victime développe de l’attachement, voire de l’affection envers son agresseur ou son bourreau.

Ce mécanisme peut apparaître dans des relations affectives marquées

  • par la domination
  • la manipulation
  • ou l’instabilité


Dans la structure abandonnique cela se traduit par

  • une tendance à justifier les comportements blessants de l’autre (il souffre, il ne fait pas exprès)
  • une loyauté excessive envers les partenaires toxiques
  • une confusion entre amour et douleur


La personne préfère rester liée à quelqu’un qui l’a fait souffrir, plutôt que de revivre l’abandon initial.


Clé thérapeutique :

  • Travailler sur la différenciation entre attachement et amour
  • et renforcer la capacité à choisir des relations nourrissantes plutôt que des liens de survie.


L’identification à l’agresseur ou au groupe
 : se nier pour appartenir

L’ identification à l’agresseur est un mécanisme de défense où la victime adopte les attitudes, les croyances, ou les comportements de celui qui l’a blessé.

Cela peut aussi s’étendre à une identification à un groupe (famille, communauté, cercle social) qui a nié ou minimisé sa souffrance.

Dans la structure abandonnique cela se manifeste par

  • le refus de reconnaître sa propre blessure – « je n’ai pas souffert, d’autres ont eu pire ».
  • La reproduction de comportements violents ou froids envers soi-même ou les autres.
  • Une soumission aux normes du groupe pour ne pas être rejetée.

La personne préfère se fondre dans le groupe, ou ressembler à l’agresseur, plutôt que de risquer l’exclusion.


Clé thérapeutique : favoriser

  • l’affirmation de soi
  • La reconnaissance de la souffrance vécue
  • Et la déconstruction des loyautés toxiques.


Le narcissisme sain : une clé pour sortir du vortex

Le mot «  narcissisme «  est souvent mal compris.

Il ne s’agit pas ici d’égoïsme, ou de vanité, mais d’un narcissisme sain : la capacité à se reconnaître comme précieux, à se respecter, et à se protéger.


Dans la guérison abandonnique, le narcissisme sain permet :

  • De poser des limites claires dans les relations
  • De choisir des partenaires qui respectent son intégrité
  • De se reconnecter à son propre désir, plutôt que de vivre à travers le regard de l’autre.


C’est en se revalorisant que la personne abandonnique peut sortir du rôle de victime, et devenir sujet de sa vie.


Clé thérapeutique : travail sur

  • l’estime de soi
  • la reconnaissance de ses besoins
  • et la capacité à dire non sans culpabilité


Conclusion
 : se libérer, c’est se retrouver.

Sortir du vortex abandonnique,

  • c’est rompre avec les identifications toxiques
  • renoncer à aimer dans la douleur
  • et retrouver le droit d’exister pleinement

 c’est un chemin vers soi, vers un amour qui ne détruit pas, mais qui élève.


Vers une renaissance affective

Il fut un temps où l’amour était une quête désespérée, un cri silencieux lancé à l’enfance oubliée.

Mais un jour, au creux du manque, naît la lumière douce de la conscience.

L’être abandonnique se relève, non plus pour mendier l’amour, mais pour le vivre librement, dans la danse fragile et sacrée du lien.


Car guérir, ce n’est pas oublier,

  • c’est apprendre à aimer sans se perdre,
  • à exister sans se fondre,
  • à marcher vers l’autre les mains pleines de soi.


Je suis Irène Viale, psychanalyste, engagée, et profondément sensible à ces souffrances invisibles.


Je connais de l’intérieur ce que signifie :

  • vivre avec la peur de l’abandon,
  • se perdre dans le regard de l’autre,
  • et chercher désespérément un amour qui répare.


Je vous soutiens, avec professionnalisme et humanité,

Je vous propose un accompagnement sur mesure, pour vous aider à comprendre, à guérir, et à vous retrouver.

Ensemble, nous pouvons transformer la douleur en force, le manque en présence, et l’attente en liberté.


Si ça résonne en vous, pour prendre contact, en savoir plus, ou entamer ce chemin, je vous invite à me rejoindre : voir lien rubrique contact du site.

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